Revenons à cet appel fatidique, Louise, ma génitrice entre deux
sanglots, réussie à me faire comprendre que nous somme ruinés ! Mon père
ce salaud à liquidé ses affaires et a disparue de la circulation,
j’appris plus tard qu'il était parti, avec une jeune bimbo, en Amérique
du Sud dans un pays ou l'extradition est très compliquée. Les huissiers
étaient à la porte de chez maman et vu que sa famille avait engloutie
tous son argent dans la rénovation d'un château, à fonds perdus, elle se
retrouvait dans la paille et par conséquent moi aussi.
les trois
mois suivants furent une lente descente aux enfers je dû rendre
l’appartement parisien, la jaguar, qui était un véhicule de la société
de mon père dorénavant en liquidation. Je perdis tous mes amis, inutile
de vous dire que mon lit devint très froid, plus de jolies femmes pour
le réchauffer d'autant plus que ma réputation de mauvais coup avait fait
le tour de Paris. Je me résolu à rentrer chez ma tante qui avait une
maison sur Valence et qui avait récupéré ma pauvre mère, elle même en
panique et sans le sou. A son âge et n'ayant jamais travaillée, elle
n'avait aucun revenu, ni chômage ni retraite mon père ne l'ayant jamais
déclarée dans ses business successifs. Elle n'avait plus pour elle qu'un
corps bien entretenu et une belle collection de lingerie (j'avais
l'habitude de fouiller ses tiroirs, fasciné par ses culottes strings et
autres porte jarretelles).
De temps en temps le soir elle empruntait la
twingo de ma tante et revenais tard dans la nuit. Je ne me posais pas
trop de questions, mais le lendemain elle se proposais toujours de payer
les courses au supermarché ! Moi aussi j'avais abandonné mes études et
me retrouvais à glander chez tata Nicole. Une forte nostalgie
m'assaillait, ma vie parisienne me manquais l'argent coulant à flot, les
boites les spectacles...
Comment pouvais-je m'en sortir ? Je
trainais sur le Net à mater des sites de cul, pour me branler faute
d'avoir des filles dans mon lit. Je regardais de plus en plus de sites
avec photos et vidéos de travestis subjugué par leur féminité, parfois
je piquais en douce un string dans la panière du linge sale, pour le
renifler et le porter pendant mes branlettes.
Les mois s'écoulaient ainsi, la mélancolie et l'ennuie me gagnais mais un jour je fus choqué.
En
navigant sur un site de domination, je tombe sur une photo de ma mère
en lingerie ! Impossible de se tromper c'était bien elle, même avec un
maquillage appuyé, je la reconnue. Elle appartenait à une certaine
Maitresse Paloma, qui s'offrait ses services comme femme de ménage un
peu spéciale, une soubrette mature encore belle et salope. "Mon dieux"
comment était-ce possible, ma propre mère faisait la salope pour un
couple Je comprenais mieux maintenant ses absences certains soirs et ses
retours tard dans la nuit.
Passé ce moment hébétude, je prenais plus de renseignements sur cette Maitresse Paloma, qui habitait ma ville et je pris mon courage à deux mains pour lui écrire et lui demander des explications pour ma pauvre mère ainsi exploitée. Contre toute attente, elle me répondit et fit preuve d'une grande humanité je dirais même douceur en m'expliquant qu'elle avait rencontré ma mère dans un bar et face à son désarroi et son manque d'argent, lui avait proposé de la prendre à son service, pour faire la cuisine, du ménage et bien sur satisfaire les appétits sexuels d'elle est son mari, soumis lui aussi. De fil en aiguille au cours des semaines, Maitresse Paloma devint une confidente, me fit accepter le nouveau statut de ma mère et me demanda de continuer à la respecter malgré tout.
Puis un jour, lui ayant parlé du fait que j'avais un petit sexe avec de micro couilles et que j'aimais porter de la lingerie, elle me fit une proposition qui allait bouleverser ma vie.
J'allais devenir Damitille Limousin.
Une écriture limpide, qui se lit avec un intêret attachant après chaque virgule les mots l'histoire se fait de plus en plus captivante...
RépondreSupprimerUne histoire, ton histoire que tu dévoiles sous un voile de pudeur,de douceur, de romantisme,
Comme il est doux de te lire, de ta plume, ma Damitille tu attrapes le lecteur ,
Heureux celui, ou celle qui vient te lire..... Elle ou il, rentre dans ton monde, dans
""notre "" monde pour en savourer chaque mot chaque phrase et se prendre au jeu
de la soumission, du sexe, de l'obéissance ....
Vite la suite, moi je la connais...... Mais vite fais la découvrir à ceux qui sont là
a attendre avec exaltation la suite de ta fabuleuse histoire de vie.
Ta Dominatrice Paoloma.
Compliments à l'infortunee mere de damitille pour soncourageet son sex appeal en tenue de soubrette.
SupprimerBonjour
RépondreSupprimerQuelle chance tu as d'avoir une telle maîtresse
Moi je rêve de vivre la même chose
Bonjour c'est Paloma...
SupprimerLa chance se partage,
j'ai aussi cette chance sublime d'être la Dominatrice d'une soumise aussi
talentueuse, qu'inventrice, et qui.... à merveille me comble...
merci de ton gentil commentaire
Paloma