Ma formation de soumise. Suite de mon suivi par mail, par Maitresse P. dirigeant ma vie

 La semaine suivante, dans un de ses courriers quotidiens, Maitresse Paloma m'a demandé de délaisser mes boxers d'homme pour des strings plus appropriés à ma situation de lopette et de fille en devenir.

j'avais trouvé un petit boulot par intérim afin d'aider un peu la famille de maman, qui devait supporter la charge de nous avoir à la maison.

Or Maitresse Paloma me demanda d'aller à mon travail avec un string sous mes habits d'Homme.

Par ailleurs ayant été très excitée par mon récit ou je lui racontais comment j'arrivais à jouir sans même me toucher le sexe, elle me demande de lui prouver en vidéo, cette capacité exceptionnelle de ma part. 

je fus extrêmement excité de réaliser cette vidéo pour ma Maitresse, qui avait de plus en plus de prise sur moi. je ne pouvais plus reculer, j'étais définitivement sous son charme et sa coupe...

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Ma formation de soumise: Ménage habillée en salope

 Afin de vérifier mes capacités à faire le ménage chez elle, Maitresse Paloma m'a demandé de faire du ménage à la maison dans la tenue nouvellement achetée chez Bodyhouse et pluggée. Cette demande faite par mail devait être associée à une preuve en vidéo...


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 Qu'en pensez-vous?

 


Mes premiers achats à Bodyhouse avec Maitresse P. (texte/photos/vidéo)

 Shopping avec Maitresse Paloma
En ce jour ensoleillé, j'avais rendez-vous en sortant du boulot, avec Maitresse Paloma et son mari Allex, dans une boutique BodyHouse, bien connu des amateurs de sextoys et belles lingerie.
A l'heure dite je me gare et trouve mes 2 acolytes prêt à me rejoindre.
A peine entrée je me rend compte que Maitresse est une habituée, les vendeuses la salue et semble bien la connaitre.
pendant qu'Allex achète du lubrifiant, nous déambulons dans les rayons, j'avais très envie d'un corset pour allonger ma silhouette et affiner ma taille, j'avais trouvé des modèles sur le site Internet du magasin, mais rien ne valait mieux que de déambuler au gré des rayons avec des vendeuses visiblement amusées de voir que la recherche de lingerie était pour moi.
Nous finissons par flasher, Maitresse et moi sur 2 modèles en taille XL, disponibles. l'un noir et l'autre rouge. Oui ce rouge pute que j'aime tant, en lingerie.
Nous demandons alors l'accès à une cabine d'essayage, en effet avec le virus, l'accès est bloqué et il faut demander à une vendeuse d'ouvrir. Quelle humiliation pour moi qui rougie, aussi écarlate que ma tenue, je me dirige vers une simple cabine, mais ma Maitresse et son mari m'indique une cabine plus vaste ou l'on peut tenir à trois sans problèmes, je suis très gênée, la vendeuse me fait un clin d'oeil en tirant les rideaux, je ne sais plus ou me mettre.
Pour lever cette gène Maitresse se met immédiatement en action en me demandant de quitter mon polo, puis de baisser mon pantalon. je me vois dans la glace je me trouve ridicule avec mon masque ffp2, à moitié nu.
Puis vient le moment d'essayer ce corset il n'est pas ajusté , Paloma, passe derrière et essaye de tirer sur les liens cela semble compliqué. C’est alors que la vendeuse demande si ça va, et demande si ce n'est pas trop compliqué pour nous, à l'invitation de Maitresse, elle enter alors avec nous 2 dans cette grande cabine.
C'est une professionnelle, elle ne laisse rien paraitre mais moi je bande quand je sent ses mains si proches de mon cul, quand elle étire les liens dans mon dos afin de bien ajuster le corset sur moi.
C'est un réel plaisir. J'y prend goût, et mon malaise s'envole. Une fois l'ajustage terminée, elle ressort et nous laissent seuls. C'est alors qu'Allex sort son téléphone pour nous prendre en photo, pour preuve de cette histoire.

 
Maitresse Paloma pris ma main dans le dos et me la mis sur son cul, elle était excitée et voulait que je caresse son cul, je me mis à bander immédiatement.
Puis nous allâmes, pour payer mais j'avais dans l'idée de changer de cage de chasteté pour une plus petite, on me disait souvent, ta cage est trop grande, en plus avec mes mini couilles j'avais tendance à perdre l'anneau.
Nous arrivons devant le présentoir, avec Maitresse P. pendant qu'Allex payait le lubrifiant et lui montrait ce modèle...

 

Maitresse Paloma, valida mon choix et je pu alors régler mes achats. Nous discutâmes encore un peu à la sortie du magasin, sans que la vendeuse, qui venait arroser des plantes devant le magasin, ne me lance des sourires entendus, pour elle aucun doute j'allais me faire enculer par ma Maitresse, ainsi vêtue de mon corset avec son string assortie.
Une fois rentrée chez moi, je ne perdis pas de temps et mettait immédiatement ma cage de chasteté...


 Puis mon corset. Quelle délice cette sensation était indéfinissable. je me sentait tellement femelle.


 Enfin, heureuse de mon travestissement, je prenais le temps de lire mes mails et là une surprise, Maitresse Paloma me demande de faire une vidéo de mon éjaculation en cage, pour la remercier de m'avoir accompagnée dans ce magasin. Je m’exécutais avec empressement, trop heureuse de remercier ma nouvelle Maitresse, qui allait changer ma vie.

Mon orgasme ruiné en cage


 


La première rencontre (2/2): La métamorphose

 Voilà le moment était venu j’allais enfin devenir la femme sexy, que je désirais être au fonds de moi et je savais que Maitresse Paloma serait le médiateur et l’éducatrice qui saurais m’amener là où je voulais aller…
Allex, la lope redescendait les escalier, chargé d’un sac encombrant, ce qui me fit sortir de ma torpeur et de mes pensées lubriques, pendant ce temps Maitresse P. n’avait pas bougée du centre de la pièce, qui semblait irradier de sa présence. Elle ne m’avait même pas adressé la parole.
« Voici, Maitresse, le sac contenant la lingerie et les habits de notre dernière soumise femme ».
« Bien Allex, tu as bien travaillé tu peux aller à la cuisine préparer le déjeuner, laisses nous. »
Ma Maitresse avait congédié son mari sans autre forme de procès, je me retrouvais seul, face à elle, toujours nu avec un clitoris en semi érection de par mes pensées et la situation excitante que je vivais chez Madame Paloma. La perspective de me transformer en fifille, comment aimait appeler ses soumises à queues, ma dorénavant tutrice, me faisais mouiller du gland mais aussi de mon fondement en effet mon anus était moite je le sentais. J’ai en effet cette capacité telle une fille de mouiller de ma « chatte » anale.
« Alors ma chérie, tu es vraiment sûre de vouloir devenir ma soumise. Attention un Oui de ta part est irrévocable. Tu as 5 secondes pour répondre… »
C’est alors sans bien réfléchir, seulement guidé par ma libido en ébullition que je réponds un oui franc et massif.
« Excellent » me répondit-elle.
« Voyons ce que j’ai dans mon sac à malice, pour toi, Mis à part ces sandales brillantes en pointure 43, que je tiens d’un ancien soumis, qui par chance fait ta pointure, tout le reste fait partie de lingeries et vêtements laissés par mon ancienne soumise de 35 ans, une vraie femme eh oui ! »
Mais comment savait-elle ma pointure ? Je commençais à me dire que Maitresse Paloma, me connaissais mieux que je ne le pensais.


 « Je te vois étonnée ma petite chérie mais sache que je sais tout de toi, par ta mère, où tu vis, ta pointure, tes mensurations, tour de poitrine, tour de taille et de cuisses. Ta mère et moi sommes devenues complices malgré la relation de soumission/domination qui nous lie et elle m’a parlé de son gentil fils, qui ne mérite pas ce qui lui arrive, qui a dû arrêter ses études, qui n’a plus d’amis, ni de copines, tu étais la candidate idéale pour une maitresse comme moi. »


 Tu vas la remplacer comme femme de ménage esclave chez nous; mais rassures toi je continuerais à l'aider financièrement car c'est dorénavant une amie et elle ne saura rien de ce qui nous lie maintenant.


« Tiens mets ça… »


 

 

 

 

 

Elle me tend alors un élégant soutien-gorge et une sorte de push up qui fais remontre la poitrine avec une forme qui s’insère dans les bonnets, me voilà affublé d’un 90 bonnet B.


 





Je ne bataille pas trop à le mettre, j’ai l’habitude j’avais déjà porté de la lingerie plus jeune.
« Voyons, tiens cette petite nuisette toute simple, en satin fera l’affaire pour le haut »

 
Ensuite je récupérait une paire de bas auto-fixant, un shorty blanc avec un nœud rose sur le cul ainsi que les fameuses sandales brillantes.

 « Voilà qui commence à prendre tournure, mais il manque l’essentiel, je ne vais pas me lancer dans des heures de maquillage avec toi, après tout, les hommes ne voudront qu’une chose c’est te baiser le cul ! Alors je vais te faire porter, en plus de cette perruque, un loup et sa mantille, tu vas être parfaite et féminine à souhait ».
J’ajustais donc ce loup, avec son lien derrière ma tête puis j’enfilais la perruque, un joli carré, brune, à la Uma Thurman dans pulp fiction.

 « Tu es presque parfaite, une vraie petite pute mais il manque de jolis atours, rien de mieux que quelques bijoux pour rendre une femme attirante en particulier une chaine de cheville. »
Ma Maitresse ouvre alors un coffret en bois et en sort des bracelets brillants, un gros collier de perle et la fameuse chaine de cheville qui fait si salope dans l’imaginaire des hommes.
"Laisses moi te prendre en photo pour mon album de putains personnel et pour t'exposer sur mon blog car là oui tu le mérite tu es bandante chérie, tu ne crois pas?
Restes à te trouver un prénom. "
Allex de retour de la cuisine à l'appel de sa femme, me regarda de haut en bas, je lue de l'excitation dans ses yeux bien qu'il n'arrive pas à bander, je sus plus tard qu'il était impuissant, d'où son statut de lope pour sa femme insatisfaite. Maitresse Paloma enchainant les gangbang en extérieur ou au sauna pour combler ce manque.
"Elle ressemble tellement à Domitille, la petite bourgeoise, qui nous sert de voisine, cette ancienne noble, qui nous prend de haut ! »
« Tu as raison, Allex, je n’y avais pas pensé, tu lui ressemble chérie, en plus comme elle tu es une bourgeoise désargentée, voilà qui est dit tu ne seras pas Domitille mais DAmitille, dorénavant. Te voici baptisée par ta Maitresse et devant son mari. Qu’il en soit ainsi. »
Ma vie de femme venait de commencer et celle de lopette homme, de s’achever.
J’étais dorénavant Damitille Limousin, la salope femelle de ce couple. A n’en pas douter, de nombreuses aventures m’attendent.
Avant de me congédier, ma nouvelle maitresse me dit une dernière chose...

 "Voici ton premier salaire de femme de ménage chez nous, je te le met dans tes bas comme les putes reçoivent leur due. Bientôt je t'enverrais de nouvelles consignes par mail, tu devras m'écrire chaque jour pour me montrer ta vénération pour moi. Allez je t'autorises à te rechanger en Homme, si tant est que tu en sois encore un, juste une façade pour ta mère et ta famille. Emporte ta nouvelle tenue dans ce sac. Eh puis file, Allex te raccompagneras. "
Puis je vis Maitresse Paloma sublime dans sa tenue de domina montant l'escalier vers ses appartements.
 
A suivre…  




 

La première rencontre (1/2)

 Voilà le moment était venu. Cet instant fatidique qui allait faire basculer ma vie dans la débauche et la luxure.

C’est non sans une pointe d’appréhension mais avec une grosse excitation que je me présentais devant la porte de chez ma Maitresse à l’heure indiquée. Nous y étions, plus de machine arrière possible. Je prends mon courage à deux mains et sonne à la porte…
A ma grande surprise je vis un homme entièrement nu m’ouvrir. Il se présente comme étant la lopette de madame sa femme et qu’il se nomme Allex.

 

Il me demande de le suivre, ce que je m’empresse de faire. C’est alors que je découvre un intérieur assez cossu mais surtout froid dans ses couleurs très mâtiné de blanc et de noir, rien d’extravagant mais plutôt classe. Au centre de la pièce se tenait une femme mure mais superbement classe dans ses escarpins noir brillant à talon de 12cm. Je découvre Paloma ma future Maitresse, du moins je l’espérais. Elle avait si bien su me percer à jour, me faire ressortir toute la féminité que j’avais en moi, ainsi que mon envie de l’exposer aux yeux de tous.

« Déshabille-toi » me lança-t-elle d’un ton sec et sans équivoque. Ni même un bonjour, rien !
Je m’exécute alors pliant soigneusement mes habits d’Homme sur la table. Une fois nu elle me dit de me positionner dans le canapé et de me mettre à l’aise. Un peu décontenancé, je me dirige alors vers l’endroit désigné et m’allonge sur le dos. Je vois ma Maitresse reluquer ma queue en semi bandaison et scruter tout mon corps dans son entière nudité.
« Tu es très féminine de corps, ma chérie, tu vas plaire aux Hommes crois moi ».
« Par contre avec ton petit clito, tu es faite pour être une femme, regardes moi ça, tes couilles sont si petites qu’elles logeraient dans un string taille S, sans dépasser ».
« J’ai très envie de te prendre dans mon harem, mais avant je dois te faire passer un test, serais-tu d’accord ? »
Je bredouille alors un oui à peine audible.
« Bien, Allex viens ici… »
« Tu connais le rituel, agenouilles toi et lèches bien les pieds de notre invité ».
Je vois alors cet homme nu se mettre à quatre pattes devant moi et commencer à lécher ma plante des pieds puis entre les orteils, c’est très humiliant mais il semble prendre plaisir à le faire, je me laisse donc décrotter sans broncher.
 
« Vois-tu mon nouvel ami, j’aime que mes invités soient bien propres avant de leur faire essayer de la lingerie, or Allex adore lécher les pieds, disons qu’il y a pris gout depuis le temps que je lui fais faire cela à chaque rencontre d’un amant ou d’une future salope de mon sérail. »
Au bout de 3 minutes j’étais on ne peut plus propre de ce côté de mon anatomie alors je fus surpris d’entendre Maitresse Paloma me demander de me mettre à quatre pattes, le cul offert, tel un chien prêt pour une levrette.
Un peu surpris je m’exécutais car oui j’étais très motivé par cette femme si cérébrale, qui savait si bien exacerber mes désirs les plus profonds. Mais que voulait-elle me faire ? Etre prise par elle ou la queue de son mari ?
« Voici le moment de vérité, invité, si Allex, qui va gouter à ton cul, le trouve à son gout, alors je te prends en stage. Il est très important que mon mari qui participe à ma vie intime, même en tant que lopette, fasse partie de la phase de sélection, en plus si tu restes avec nous, il sera amené à te lécher le cul régulièrement c’est donc important pour nous deux, car j’aime que mes soumis soient heureux cela fait partie du processus de domination. »
Je me mets alors en position et laisse cet homme, inconnu, mon premier Homme, car je n’avais auparavant jamais été en contact intime avec un mâle, me lécher la rondelle. Ce contact de langue humide n’est pas désagréable même surprenant.
 

Au bout de quelques minutes je vois Allex se relever et aller chuchoter à l’oreille de sa maitresse femme, puis il monte discrètement à l’étage.
« Eh bien, j’ai une bonne nouvelle pour toi, tu as passé le test, mon mari a aimé le goût de ton intimité et a validé ton intronisation, j’en suis heureuse car je sens en toi un énorme potentiel féminin, nous allons bien nous amuser tous les trois. »
Il était temps, alors, de passer à la phase d’essayage pour commencer à devenir Damitille Limousin la petite ex bourgeoise devenue salope.  
A suivre...
 

 

Ma premiere phase de domination: Virtuelle

 Nos échanges par mails, furent de plus en plus intenses, depuis notre premier contact au sujet de ma mère sa soumise mature. Il faut dire que maitresse Paloma est une très belle femme mature aussi, très bien conservée et très soignée, qui a su mettre en confiance ma génitrice dans son nouveau rôle. Nous ne devions cependant jamais nous croiser sous la coupe de Maitresse Paloma, elle ne devait jamais savoir que je savais pour elle.

Avant de congédier ma mère et me prendre à son service à sa place, elle voulue me tester. Lorsque nos mails devinrent quotidiens et de plus en plus chaud au fur et à mesure que j’exposais mes envies et fantasmes à ma maitresse, il fut décidé qu’il était temps de passer à une première évaluation de mes capacités à satisfaire cette femme exigeante mais juste. Dans un premier temps elle me demanda de porter quotidiennement de la lingerie sous mes habits d'homme. Ce ne fut pas un réel problème car j'adorais le contact de cette dernière sur ma peau.

Je commençais à voler de la lingerie dans le tiroir à lingerie de ma mère...

 


Puis ensuite j'en achetais moi même sur le marcher pour arabes de mon quartier...

Un jour j'ai même échangé sur Internet avec un Homme qui m'a offert une parure de sa femme contre une pipe dans sa voiture. Ce fut ma première expérience homosexuelle. j'étais un peu honteux je me sentais comme une putain de bas étages, tellement humiliant mais pourquoi également tellement excitant?

 Puis rapidement Maitresse me demanda de me raser le sexe l anus et les couilles.

Au début j'avais le droit à garder ce que l'on appel le ticket de métro...

Mais très rapidement je du me raser intégralement pubis et torse...


 

Sans hormonage, je remplie un bon 90B! Ce qui plu beaucoup à ma Maitresse.

Je commençais à me constituer une belle collection de lingerie, le tout dans le dos de ma famille qui ne savait rien de mes activités.


 Puis le jour vaint où Maitresse Paloma m'invita, insigne honneur, chez elle.

Je me rappelle encore ce jour ou je croisais am mère de mauvaise humeur qui grommelait qu'elle avait perdu son boulot. Si seulement elle savait que c'était moi son fils (bientôt sa fille) qui lui avait soufflé!




Présentation: Le début de ma déchéance...

 Revenons à cet appel fatidique, Louise, ma génitrice entre deux sanglots, réussie à me faire comprendre que nous somme ruinés ! Mon père ce salaud à liquidé ses affaires et a disparue de la circulation, j’appris plus tard qu'il était parti, avec une jeune bimbo, en Amérique du Sud dans un pays ou l'extradition est très compliquée. Les huissiers étaient à la porte de chez maman et vu que sa famille avait engloutie tous son argent dans la rénovation d'un château, à fonds perdus, elle se retrouvait dans la paille et par conséquent moi aussi.
les trois mois suivants furent une lente descente aux enfers je dû rendre l’appartement parisien, la jaguar, qui était un véhicule de la société de mon père dorénavant en liquidation. Je perdis tous mes amis, inutile de vous dire que mon lit devint très froid, plus de jolies femmes pour le réchauffer d'autant plus que ma réputation de mauvais coup avait fait le tour de Paris. Je me résolu à rentrer chez ma tante qui avait une maison sur Valence et qui avait récupéré ma pauvre mère, elle même en panique et sans le sou. A son âge et n'ayant jamais travaillée, elle n'avait aucun revenu, ni chômage ni retraite mon père ne l'ayant jamais déclarée dans ses business successifs. Elle n'avait plus pour elle qu'un corps bien entretenu et une belle collection de lingerie (j'avais l'habitude de fouiller ses tiroirs, fasciné par ses culottes strings et autres porte jarretelles). 

De temps en temps le soir elle empruntait la twingo de ma tante et revenais tard dans la nuit. Je ne me posais pas trop de questions, mais le lendemain elle se proposais toujours de payer les courses au supermarché ! Moi aussi j'avais abandonné mes études et me retrouvais à glander chez tata Nicole. Une forte nostalgie m'assaillait, ma vie parisienne me manquais l'argent coulant à flot, les boites les spectacles...
Comment pouvais-je m'en sortir ? Je trainais sur le Net à mater des sites de cul, pour me branler faute d'avoir des filles dans mon lit. Je regardais de plus en plus de sites avec photos et vidéos de travestis subjugué par leur féminité, parfois je piquais en douce un string dans la panière du linge sale, pour le renifler et le porter pendant mes branlettes.
Les mois s'écoulaient ainsi, la mélancolie et l'ennuie me gagnais mais un jour je fus choqué.
En navigant sur un site de domination, je tombe sur une photo de ma mère en lingerie ! Impossible de se tromper c'était bien elle, même avec un maquillage appuyé, je la reconnue. Elle appartenait à une certaine Maitresse Paloma, qui s'offrait ses services comme femme de ménage un peu spéciale, une soubrette mature encore belle et salope. "Mon dieux" comment était-ce possible, ma propre mère faisait la salope pour un couple Je comprenais mieux maintenant ses absences certains soirs et ses retours tard dans la nuit.


Passé ce moment hébétude, je prenais plus de renseignements sur cette Maitresse Paloma, qui habitait ma ville et je pris mon courage à deux mains pour lui écrire et lui demander des explications pour ma pauvre mère ainsi exploitée. Contre toute attente, elle me répondit et fit preuve d'une grande humanité je dirais même douceur en m'expliquant qu'elle avait rencontré ma mère dans un bar et face à son désarroi et son manque d'argent, lui avait proposé de la prendre à son service, pour faire la cuisine, du ménage et bien sur satisfaire les appétits sexuels d'elle est son mari, soumis lui aussi. De fil en aiguille au cours des semaines, Maitresse Paloma devint une confidente, me fit accepter le nouveau statut de ma mère et me demanda de continuer à la respecter malgré tout.
Puis un jour, lui ayant parlé du fait que j'avais un petit sexe avec de micro couilles et que j'aimais porter de la lingerie, elle me fit une proposition qui allait bouleverser ma vie.
J'allais devenir Damitille Limousin.


 

Présentation: Qui j'étais...

 J'ai passé une enfance que l'on peut qualifier d'heureuse mes parents issus, pour mon père d'une bourgeoisie aisée, dans la finance, pour ma mère venant d'une vieille famille aristocratique. Même si mon éducation fut stricte j'étais heureux. Fils unique je croulais sous les cadeaux, voitures téléguidées et autres vélos couteux faisait partie de mon quotidien.

A l'adolescence, j'ai commencé à me branler bien sur, je fantasmais sur des nanas de mon lycée, bien que doté d'un sexe dans la norme 14.5/3.5 cm., très timide je n'osais pas aborder les filles. En substitution je me branlais dans des collants en reniflant des culottes sales. c'est ainsi que je me suis rendu éjaculateur précoce, un sacré handicape pour la suite de ma vie d'adulte.

 Plus tard, je commençais des études de droit à Paris j'avais un appart' dans le XVIème, des amis branchés, c'était sorties en boite ou restos quasiment tous les soirs, sans parler des spectacles. N'étant pas un apollon et n'ayant pas une bite de taureau, grâce à mon argent (en fait celui de mon père) j'arrivais quand même à avoir des petites amies plutôt belles qui s'intéressaient plus à ma Jaguar et à mes tournées de champagne en boite qu'à mon petit sexe. En un mot comme en cent j'avais la belle vie...


Mais un jour tout bascula. Je me rappelle encore ce jeudi matin, dès 9h. ma mère en larme qui m'appelle, je sors tant bien que mal de ma torpeur à moitié endormi dans mes draps de satin allongé à côté d'une belle brune, hôtesse de l'air, je crois, mais bon j'étais bien bourré la veille...

 

C'est écrit dessus!