Voilà le moment était venu j’allais enfin devenir la femme sexy, que je
désirais être au fonds de moi et je savais que Maitresse Paloma serait
le médiateur et l’éducatrice qui saurais m’amener là où je voulais
aller…
Allex, la lope redescendait les escalier, chargé d’un sac
encombrant, ce qui me fit sortir de ma torpeur et de mes pensées
lubriques, pendant ce temps Maitresse P. n’avait pas bougée du centre de
la pièce, qui semblait irradier de sa présence. Elle ne m’avait même
pas adressé la parole.
« Voici, Maitresse, le sac contenant la lingerie et les habits de notre dernière soumise femme ».
« Bien Allex, tu as bien travaillé tu peux aller à la cuisine préparer le déjeuner, laisses nous. »
Ma
Maitresse avait congédié son mari sans autre forme de procès, je me
retrouvais seul, face à elle, toujours nu avec un clitoris en semi
érection de par mes pensées et la situation excitante que je vivais chez
Madame Paloma. La perspective de me transformer en fifille, comment
aimait appeler ses soumises à queues, ma dorénavant tutrice, me faisais
mouiller du gland mais aussi de mon fondement en effet mon anus était
moite je le sentais. J’ai en effet cette capacité telle une fille de
mouiller de ma « chatte » anale.
« Alors ma chérie, tu es vraiment
sûre de vouloir devenir ma soumise. Attention un Oui de ta part est
irrévocable. Tu as 5 secondes pour répondre… »
C’est alors sans bien réfléchir, seulement guidé par ma libido en ébullition que je réponds un oui franc et massif.
« Excellent » me répondit-elle.
«
Voyons ce que j’ai dans mon sac à malice, pour toi, Mis à part ces
sandales brillantes en pointure 43, que je tiens d’un ancien soumis, qui
par chance fait ta pointure, tout le reste fait partie de lingeries et
vêtements laissés par mon ancienne soumise de 35 ans, une vraie femme eh
oui ! »
Mais comment savait-elle ma pointure ? Je commençais à me dire que Maitresse Paloma, me connaissais mieux que je ne le pensais.
« Je te vois étonnée ma petite chérie mais sache que je sais tout de toi, par ta mère, où tu vis, ta pointure, tes mensurations, tour de poitrine, tour de taille et de cuisses. Ta mère et moi sommes devenues complices malgré la relation de soumission/domination qui nous lie et elle m’a parlé de son gentil fils, qui ne mérite pas ce qui lui arrive, qui a dû arrêter ses études, qui n’a plus d’amis, ni de copines, tu étais la candidate idéale pour une maitresse comme moi. »
Tu vas la remplacer comme femme de ménage esclave chez nous; mais rassures toi je continuerais à l'aider financièrement car c'est dorénavant une amie et elle ne saura rien de ce qui nous lie maintenant.
« Tiens mets ça… »
Elle me tend alors un élégant soutien-gorge et une sorte de push up qui fais remontre la poitrine avec une forme qui s’insère dans les bonnets, me voilà affublé d’un 90 bonnet B.
Je ne bataille pas trop à le mettre, j’ai l’habitude j’avais déjà porté de la lingerie plus jeune.
« Voyons, tiens cette petite nuisette toute simple, en satin fera l’affaire pour le haut »
« Voilà qui commence à prendre tournure, mais il manque l’essentiel, je ne vais pas me lancer dans des heures de maquillage avec toi, après tout, les hommes ne voudront qu’une chose c’est te baiser le cul ! Alors je vais te faire porter, en plus de cette perruque, un loup et sa mantille, tu vas être parfaite et féminine à souhait ».
J’ajustais donc ce loup, avec son lien derrière ma tête puis j’enfilais la perruque, un joli carré, brune, à la Uma Thurman dans pulp fiction.
« Tu es presque parfaite, une vraie petite pute mais il manque de jolis atours, rien de mieux que quelques bijoux pour rendre une femme attirante en particulier une chaine de cheville. »
Ma Maitresse ouvre alors un coffret en bois et en sort des bracelets brillants, un gros collier de perle et la fameuse chaine de cheville qui fait si salope dans l’imaginaire des hommes.
« Tu as raison, Allex, je n’y avais pas pensé, tu lui ressemble chérie, en plus comme elle tu es une bourgeoise désargentée, voilà qui est dit tu ne seras pas Domitille mais DAmitille, dorénavant. Te voici baptisée par ta Maitresse et devant son mari. Qu’il en soit ainsi. »
Ma vie de femme venait de commencer et celle de lopette homme, de s’achever.
J’étais dorénavant Damitille Limousin, la salope femelle de ce couple. A n’en pas douter, de nombreuses aventures m’attendent.
"Voici ton premier salaire de femme de ménage chez nous, je te le met dans tes bas comme les putes reçoivent leur due. Bientôt je t'enverrais de nouvelles consignes par mail, tu devras m'écrire chaque jour pour me montrer ta vénération pour moi. Allez je t'autorises à te rechanger en Homme, si tant est que tu en sois encore un, juste une façade pour ta mère et ta famille. Emporte ta nouvelle tenue dans ce sac. Eh puis file, Allex te raccompagneras. "
Larmes aux yeux, ** émue aux larmes ** voilà le terme exact...
RépondreSupprimerTout est raconté merveilleusement, l'écriture se veut féminine, le lecteur ou la lectrice
saura apprécier ce texte d'une écriture limpide , soignée, écrite dirais-je par une femme, bien que cela soit écrit par un homme... d'une sensuaité, d'une finesse qui à le parfum de la poudre que les femmes mettent sur leur visage, une texture de douceur.
Je savoure ce texte, je savoure chaque mot, même les virgules, les points , sont des mots d'amour à "" cette belle histoire "" ...
Admirez : le corps - l'élégance de Damitille - la féminité naissante - la timidité pudique qui cache une insolence presque juvénile
C'est plus qu'un texte, une hisoire, c'est une ** Ode à l'amour - un Poème d'amour **
entre une soumise et sa Dominatrice..
Beau texte me direz-vous ????
Permettez-moi de rectifier = Sublime texte...
Maîtresse Paloma.
De Quelle remarquable empathie avezvous fait preuve pour.prendre damitille en laisse jusqu'a le deviriliser mentalement pour son bien n'est ce pas reine phallique?
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